Lalwendë Gil'Tarannon - Noble prodigy

Âge + Vingt ans.
Métier / Etudes + Etudiante à l'Académie des Dessinateurs d'Al-Jeit.
Statut Civil + Célibataire
Orientation Sexuelle + Pansexuelle (refoulée, elle se croit hétérosexuelle).
Groupe + Dessinateurs.
Don + (le total des % doit faire 100%)
50 % Volonté
40 % Pouvoir
10 % Créativité

L’amour existe dans l’autre monde, mais d’abord en Gwendalavir. Pourquoi je dis ça ? Parce que notre jeune femme ici présente en fut le sujet plus d’une fois, et pour cause première son physique attirant, car il ne faut pas se mentir, Lalwendë est très charmante et a attiré l’œil de plus d’une personne par le passé.

Pour commencer, la jeune femme mesure 1m65 pour 52 kilos, ce qui lui donne une silhouette plutôt fine et élancée, une taille de mannequin, que plus d’une jalousent.  Par contre, cela lui donne une poitrine qui serait considérée comme plutôt petite dans l’autre monde. Pour autant, Lalwendë possède de jolies formes.

Au risque de se répéter, la jeune Dessinatrice a un visage d’ange, évidemment, qui va parfaitement bien avec son corps. Il est jonché d’une crinière brune tantôt lisse, tantôt bouclée, en fonction du temps. En effet, une averse aura tendance à les faire passer au versant bouclé. Le côté supérieur de son visage abrite des yeux bleu clair paraissant presque translucides par moments, dans lesquels on adore plonger son regard. Le sien est surmonté de sourcils fins bien arqués, de la même couleur que ses cheveux.

Du reste, son nez parait être parfaitement placé au milieu de son visage, ni trop gros, ni trop fin. Quelques petites tâches de rousseur s’y sont déposées ainsi que sur ses joues légèrement rougies de temps en temps, en fonction de son humeur. Ses lèvres, quant à elle, sont plutôt fines mais quelque peu pulpeuses, souvent déguisées par un sourire car Lalwendë est une jeune femme très souriante, rayonnante de bonheur.

Lalwendë, c’est d’abord la passion. De la lecture, pour être plus précise. Ses parents, depuis sa plus tendre enfance, ont mis à sa disposition moult et moult d’ouvrages sur l’histoire de Gwendalavir ainsi que de l’autre monde, des glossaires et livres sur l’art du Dessin. C’est pour cela que depuis toute petite, la brune a envie de devenir Dessinatrice. La jeune femme est déterminée à atteindre son but, par ailleurs ; effectuer le Grand Pas, cet acte qu’aucun dessinateur n’a encore réussi à maitriser en Gwendalavir.

De cette passion qui l’anime depuis son jeune âge, est né un de ses principaux défauts ; la prétention. En effet, la jeune femme a tellement de connaissances sur le monde qu’elle peut se montrer hautaine par moment. Elle est souvent persuadée être plus douée que quiconque sur les domaines sur lesquels elle a le plus lu ; y compris le Dessin. Lalwendë n’est pas non plus un diable, c’est-à-dire qu’elle sait quand même plus ou moins reconnaitre quand elle a tort, si et si seulement on lui prouve par A plus B. Elle est en somme, très pragmatique.

Pour autant, Lalwendë est une grande rêveuse (sans R majuscules). A tel point que lorsqu’elle dort, elle a un rêve extrêment récurrent : celui où elle arrive à effectuer le Grand Pas et à se rendre dans l’Autre Monde. Extrêmement curieuse, ceci considère aujourd’hui et depuis longtemps son plus grand souhait. La jeune femme aspire à devenir LA Dessinatrice.

A cet aspect rêveur s’ajoute un monde imaginaire très développé. Comme pour la plupart des Dessinateurs, me direz-vous. La particularité de Lalwendë réside dans son excellence ; il lui arrive rarement de rater un Dessin ou de se perdre dans les Spires de l’Imagination et de plus, elle est arrivée à maitriser le Pas sur le Côté très rapidement comparé aux autres Dessinateurs de l’Académie. Les académiciens furent tous bluffés lorsqu’ils furent témoins des capacités de la petite.

Cette imagination est un terrain propice pour un certain romantisme chez la jeune fille. Elle aspire à une vie heureuse et tranquille avec l’élu de son cœur dans une belle habitation dans la capitale d’Al-Jeit. Et, vous le devinerez, Lalwendë passe beaucoup de son temps à imaginer sa vie future. En somme, on pourrait dire que c’est une femme en avance sur son temps. Pour elle, le présent n’est qu’un prototype du futur. Parallèlement, la jeune Dessinatrice est un être poétique, qui écrit beaucoup, sur son environnement et son imagination. Qui sait, peut-être qu’un jour, ses écrits seront aussi publiés…

Le 28 juin 1999 fut né dans la capitale d’Al-Jeit le nourrisson qui se ferait appeler Lalwendë Gil’Tarannon par la suite et qui deviendrait l’une des Dessinatrices les plus douées de la région. Evidemment, elle ne le savait pas à la naissance, et d’ailleurs, ses parents non plus.

Aracäno et Artanis furent les deux parents les plus heureux du monde. Travaillant en tant que conseillers pour l’Empereur, ils étaient très bien placés ainsi que logés, dans la meilleure des situations pour pouvoir accueillir leur seule et unique fille : Lalwendë, signifiant Jeune Fille Rieuse. Ce nom trouve son origine dans les rires que le bébé avait exprimé juste après sa crise de larmes à la naissance.

L’enfance de la petite fut donc une enfance de rêve. Elle ne manqua de rien, ni de nourriture, ni d’eau fraîche, ni de bonheur, ni d’attention. Elle était destinée à une belle vie. Ses parents la nourrissèrent parfaitement et notamment de livres ; aujourd’hui, ils aiment à raconter que l’enfant savait lire avant de savoir marcher, ce qui fait toujours rire la jeune femme.

Rapidement, Lalwendë se mit à developper un amour pour la théorie de l’art du Dessin, bien avant ses seize ans. Parallèlement, elle lisait aussi les histoires sur l’Empire, le monde de Gwendalavir et les légendes sur l’autre monde (du point de vue du territoire alavirien)… Tout ça l’animait, tout ça la rendait passionnée au possible.

C’est vers ses dix-sept ans que le drame eut lieu. Aracäno fut la cible d'une tentative de meutre. On ne sut jamais qui étaient les assassins, mais ce ne fut pas faute d'avoir essayé de les retrouver. Le père de Lalwendë était destiné à mourir, ce jour-là. Cela remplit la jeune fille de chagrin. Un chagrin incommensurable. Elle ne pouvait se résoudre à le perdre. Pas comme ça.

Cette pensée de mort immédiate fut le déclencheur pour Lalwendë de son art du Dessin. Ce fut incroyable, exceptionnel... La jeune femme fut capable d'effectuer un pas sur le côté, ce dessin qui permettait de se rendre d'un endroit à un autre à condition que l'on ait déjà vu la destination souhaitée. Ce pas que seuls les excellents dessinateurs peuvent effectuer. Eh bien... Lalwendë l'utilisa simplement comme la première manifestation de son Don. Au dernier moment elle avait empoigné son père par le bras et l'avait emmené dans sa chambre à Al-Jeit.

Ainsi, Lalwendë venait d’acquérir son pouvoir de Dessin. Rapidement, on la fit voir l’Analyste le plus connu de l’Empire qui effectua sur elle le test des trois cercles : ceux de la Volonté, du Pouvoir et enfin de la Créativité. Ce test fut fait grâce à cet instrument qu’on appelait le cristal. Les résultats pour la jeune Dessinatrice furent surprenants ; évidemment, elle n’obtint pas un cercle noir, ce cercle qu’un seul avait possédé auparavant ; Merwyn Ril’Avalon. Par contre, ses cercles furent étonnamment très rapprochés pour une Dessinatrice de son âge. Ces résultats lui valurent le nom de « Petite Prodige » parmi ceux qui avaient eu connaissance de ses résultats.

Désormais, nous sommes en 2020. Cela fait maintenant trois ans que Lalwendë s’entraine sans relâche à l’art du Dessin. Son plus grand objectif est de réussir à effectuer le Grand Pas ; elle sait qu’elle en est capable. La Dessinatrice est aussi curieuse quant à l’affaire du fameux retour des Mercenaires du Chaos… Elle avait lu beaucoup d’ouvrages les concernat étant plus jeunes et elle savait qu’ils constituaient une menace véritablement inquiétante. Elle se promit de rester sur ses gardes et de protéger son entourage coûte que coûte…